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Confidences autour d'un thé... (ou d'un café)
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10 août 2010

La deuxième journée vendéenne

Aujourd'hui on a sorti les vélos. Parce que si j'aime pas trop faire du vélo en temps normal c'est pour la bonne et simple raison que je hais peiner dans les côtes, et que par ici, comment dire... y'a un peu que ça! Donc habituellement j'utilise plus mes pieds pour faire une rando pédestre que pour pédaler. Donc bien sûr grandes étendues de sable, du plat à perte de vue, il n'en a pas fallu plus pour nous motiver à bloc pour faire Saint-Jean > Noirmoutier à Vélo, le but étant d'atteindre le Gois afin de voir éventuellement quelques touristes coincés par la marée (mon coté diabolique se réveille). Mais comme rien n'est jamais facile, y'a eu plusieurs imprévus à surmonter. D'une part choper les vélos, ce qui a été quelque chose d'assez dur. Il a fallu jongler avec les clés pour trouver les bonnes (celle de l'appart, puis celle de l'entrée, celle du garage, celle de l'antivol 1 et celle de l'antivol 2), puis sortir les vélos du garage, chose assez compliquée. Enfin sur les vélos, on a pédalé joyeusement sur la piste cyclable, faisant quelques accélérations pour doubler les Rosalies. Bref, tranquille et sympa.

DSC00620

Petit hic: on a bien mis 1h a trouver la BONNE piste. Parce que le truc c'est qu'il y a des pistes cyclables partout mais c'est pas super bien indiqué. Alors les allers-retours se sont enchaînés, mais toujours dans la bonne humeur et sans grande perte d'énergie, car on gardait en tête que « la Vendée, c'est plat ». Bien sûr on a parlé trop vite: notre super sentier littoral trouvé, on s'est aperçues avec effroi qu'il était rempli de petites côtes, et de sable. En gros des dunes quoi. Alors quand on a vu au bout d'une bonne heure qu'il nous fallait encore faire le double, on a décidé que Noirmoutier ça attendrait demain, qu'on allait s'arrêter à Notre-Dame-de-Monts, faire le retour et puis voilà. Ce que l'on a fait. Et au retour on a refusé net de passer par le sentier côtier. Et bien la route goudronnée était, elle, PLATE, et au final on a mis à peine une demie-heure pour faire le retour (!)

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