La presque fin du mémo-mémoire

Alors j'aurais pu parler de mon rêve de cette nuit qui était assez 'royal' au niveau du délire. Mais y'a trop de paramètres impossibles à comprendre pour les 3/4 du monde, donc je vais m'abstenir. Toujours est-il que c'est nouveau, c'est beau et c'est tout chaud: j'ai ENFIN envoyé mes vingt et UNE pages de mémoire à ma directrice. Bon maintenant faut que je traduise le tout en anglais, mais le plus gros est fait. Enfin je peux aussi, et je vais sûrement, me faire descendre ou du moins avoir des remarques qui vont me faire relire et relire et relire le bloc de pages, mais bon je me dis que au pire, même si c'est pourri, j'aurai quelque chose à présenter. Dans le même ordre d'idée j'ai pondu un "reaction paper" en trente minutes. Ça demande une reformulation de plusieurs phrases et mon habituel travail sur wordreference le lundi matin pour les mots qui résistent à mon talent de traductrice née, mais bon le gros du boulot est fait. Par contre le GROS soucis, c'est que le mémoire m'a tellement pris la tête que... j'ai toujours pas commencé à me pencher sérieusement sur ma présentation de... mardi! Faut que je fasse ça se soir, mais j'ai l'impression d'être complètement vidée de toutes mes forces.

Et du coup depuis à peu près une semaine je fais quelque chose de pas bon pour ma santé (mais extrêmement bon pour ma productivité et mon moral): je me fume une cigarette tous les soirs lorsque je sens le coup de mou intellectuel. Et ça marche du tonnerre: ça me calme illico, et en plus j'arrive mieux à penser après (l'inspiration vient toute seule). Bon le problème c'est vrai, c'est que c'est "un peu" toxique...