"Why don't you just take me where I've never been before ? " *

A défaut de mettre un peu de nouvelles musiques sur ce blog, je le tag de bouts de lyrics. Mais ça arrive, ça arrive, j'ai quelques idées de nouveau design (qui est d'ailleurs commencé, mais qui bouchonne puisque je n'ai pas trouvé le temps** de me mettre devant mon ordi - pas mon netbook). Mais avant de revenir au presque blanc, il va falloir que je trouve une solution pour mettre en oeuvre ce "presque". Bref, tout ça pour dire rien en fait.

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Pina

Malheureusement en 3D, parce que du coup mes yeux ont encore soufferts. J'ai juste vu un seul passage où la 3D servait vraiment le film (au début, les rideaux, on avait l'impression de pouvoir les toucher). J'ai bien aimé en règle générale mais c'est vrai que j'avais une nette préference pour les scènes "d'extérieurs".Celles des individuels. Celles que l'on voit dans la BA. Celles qui suivent les souvenirs que les danseurs ont de Pina. Les morceaux de spectacles je les ai trouvé moins bien, je pense parce que justement c'était des bouts, hors contexte. Un spectacle de danse fonctionne pour moi comme un concert d'un orchestre: c'est sur une forme de symbiose entre le spectateur et le spectacle que ça marche. Donc sur la durée plus que sur l'instantané. Hors, là, comme on avait des bouts, y'avait une part du discours qui était faussé - du moins à mon avis. COntrairement aux scenettes qui elles, avaient toute leur place en tant que tel: des morceaux, des petit bouts d'éphémère. Au final j'était quand même contente de ma séance - bien qu'épuisée (merci les lunettes 3D!)
 

* The Pogues - I love you 'till the end  
** Pour une fois j'utilise la dénomination exacte: je ne trouve pas le temps, car j'en ai un peu. Je m'en créer tous les jours en avançant tel un escargot.