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Confidences autour d'un thé... (ou d'un café)
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9 décembre 2017

Entre là et Noël 2017 ☃ 9

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9 ☃ Lecture

C'est lorsque l'on ne cherche pas quelque chose qu'on le trouve. C'est un peu ce qui m'arrive avec cette relecture. La Spendeur des Vaneyck (de Annie Degroote), j'ai du le lire il y a facile huit ans lorsque j'ai eu ma phase Annie Degroote après L'oubliée de Salperwick. Il ne m'avait pas laissé un souvenir impérissable, la preuve, je ne me souvenais que très vaguement des protagonistes lorsque je suis allée emprunter sa plus-ou-moins suite, L'étrangère de Saint Petersbourg cet été. J'avais emprunté ce bouquin un peu en mode nostalgie, pour tenter de retrouver cette sensation de lecture agréable, facile et pourtant qui t'embarques. Sauf que j'ai été hyper déçue par l'Etrangère de Saint Petersbourg, que j'ai trouvé super chiant : c'est bien parce que j'avais une pause de midi que je l'ai finalement lu en entier (d'abord le début, puis la fin, puis le milieu). Mais dans ce bouquin il y avait des notes de bas de pages du style "personnage que l'on retrouve dans la Spendeur des Vaneyck". Sauf que comme dit plus haut, je ne me souvenais que très vaguement des péripéties du roman et que du coup ça m'énervait un peu. Je me suis promis de le relire un jour. Je l'ai trouvé dans une autre bibliothèque il y a quelques semaines et il y a deux jours j'ai commencé la lecture. Et, oh!, je me suis couchée deux soirs de suite à trois heures du matin parce que j'étais vraiment dedans. Bon, okay, le style n'est pas merveilleux et tu vois venir les évenements trois plombes à l'avance mais j'ai du m'attacher un peu aux personnages je crois. En relisant, je me suis souvenue de deux, trois trucs, d'autres je les avais complètement oubliés. Ce qui est certain, c'est que lorsque j'ai refermé le livre j'ai eu un petit pincement au coeur, ce pincement que j'avais souvent avant et que je n'ai désormais que très, très, très (très ?) rarement.

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