Parfois vaut mieux pas trop se plaindre...

Impossible que vous ne vous soyez pas rendu compte que je désespérais de n'avoir aucune vie sociale, vu le nombre de fois que je l'ai mentionné. Cette semaine était - et est - plutôt remplie, par des démarches administratives stériles d'une part, par un boulot intensif sur mon mémoire et les cours d'autre part, et par la préparation de l'anniversaire de ptibou en début de semaine (qui m'a pris pas mal de temps). Du coup je me retrouve là, un vendredi, complètement overbookée, avec une pile de choses à faire pas possible, qui ne se réduit pas, ce qui n'est pas faute de bosser environ 10h par jour et de ne dormir que 6h par nuit. Et dans ce moment d'extrême anxiété, de panique totale à l'idée du "et si je n'y arrivais pas ?", de cerveau gavé de termes divers/de lectures intensives/d'archives centenaires, voilà que le filon-social, la chose qui me manquait tellement il y a une semaine, mais qui est cruellement difficile à caser maintenant, refait surface.

Alors moi qui avait du mal à jongler entre mémoire/cours, qui a du y ajouter l'administratif avec difficulté, doit désormais compter sur des sorties et autres réjouissances. Ne vous y trompez pas, je suis contente de voir du monde (enfin!) mais le truc c'est que là c'est pas des journées de 24h qu'il me faudrait mais 48h voir 72h.

Vais-je survivre jusqu'à mardi midi (là où une nouvelle semaine commence*) ?

* J'ai cours que le lundi et le mardi, donc le reste du temps c'est boulot et préparation pour les cours de la semaine suivante.