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Confidences autour d'un thé... (ou d'un café)
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18 mars 2009

Teneur énergétique du mon rève : 3250 kcal

Cette nuit j'ai fait un des rèves les plus étranges de mon existence. Si, je vous assure (même si j'en fait souvent des supers bizarres) c'est possible! Il n'y a aucun lien apparent - ou presque - entre les fragments mais au final tout est lié et c'est pour ça que je le classe number one. Il est trop trop... destabilisant, énervant, frustrant, étonnant [...]

Première partie
Mon frère est chez moi. On dois prendre un covoiturage à 16h donc il faut prendre de le bus avant. Ma soeur est là aussi mais elle elle prend le train à 17h15 (je me rappelle des heures en plus!).

(Déjà avec cette base on peut resortir d'autres bouts du rève)

"Il faut prendre le bus avant" : j'essaye de traverser les passages piétons avec difficulté parce que je n'avance pas assez vite. Je manque de me faire écraser à deux reprises par des vélos.
"elle prend le train à 17h15": Je rève d'une gare très bizarre. REGARD EXTERIEUR: Déjà, une fois qu'on y rentre on ne peut plus en resortir. Et y'a deux zozos qui essayent de s'enfuir exclusivement par... les fenêtres des WC (?!) Du coup ils y vont à l'explosif (ça c'est à cause du film d'hier de même que les flics qui vont arriver un peu plus tard) mais ils se rendent compte que la fenêtre des toilettes donne sur la gare et non sur l'extérieur (ils sont un peu cons aussi j'avais oublié de préciser). Du coup lorsqu'ils entendent parler des WC panoramiques (hihi) qui se trouvent près du stand "tous le maquillage" ils y vont illico. Malheureusement pour eux y'avait rien de panoramique aux WC et c'est là que je les quitte - et que je quitte mon regard exterieur. REGARD DE L'INTERIEUR: je me fais royalement chier dans cette gare d'où l'on ne peut pas partir et du coup je m'amuse à faire semblant de voler des énormes muffins au chocolat pour que les flics - qui se trimbalent dans toute la gare - viennent m'emerder pour rien (j'adore l'occupation!). Ça (vive le "ç" majuscule) ne marche pas mais mon regard s'arrête sur un couple étrange. La femme est en train de couper du jambon cru en lamelles pour recouvrir le dessus d'une assiette, le but étant que l'on ne voit plus le blanc de l'assiette. Mais c'était aussi pour que son mari (qui ressemblait étrangement à RA - je commence à employer les abréviations du net maintenant) viennent la voir parce que (attention) il ne s'était marié avec elle que parce qu'elle faisait des supers assiettes de jambon cru (ouaouh la teneur du rève).

Deuxième partie
Dans un paysage buccolique du genre "allée de platane et grosses robes bouffantes" je me retrouve à vélo (j'adore les vélos) en train de faire une course avec ma soeur. Et là j'ai une sorte d'absence et je me retrouve à regarder - comme si j'y était - un téléfilm sur l'amour impossible entre un palefrenier (S. Bean) et une demoiselle de la "haute" (Jaime King). Vous vous rendez compte comme je suis super créative dans mes rèves ? C'est fou, hein ?! Ensuite je vois mes "coéquipières" d'exposé qui sortent d'un gros 4x4. En fait elles reviennent de la fac où elles ont passé l'exposé sans moi puisque je dormais et que - je m'en souviens alors - je n'arrivais pas à ouvrir mes yeux à 9h54 précises (en fait je me suis vraiment réveillée à cette heure-ci). Du coup elles m'apprennaient que je devais passer toute seule le lundi. Ce qui m'énervait au plus haut point vous en conviendrez. Enfin le tout se déroulait dans un lieu qui était en fait tour à tour un lac et un parterre de verdure, entouré d'une allée qui, parce que j'ai des tendances claustro, n'avait aucune issue. Du coup, la seule chose à faire était de tourner, tourner, tourner, autour du lac/pelouse.

Voilà vous savez tout sur ma vie onirique (et intime à en croire Freud)

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