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Confidences autour d'un thé... (ou d'un café)
Confidences autour d'un thé... (ou d'un café)
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19 avril 2009

Parce que quand je commence je continue

Je n'ai plus d'excuses en magasin pour justifier mon manque d'enthousiasme à faire vivre ce blog ces derniers jours. Je ne me balade pas vraiment sur le net, donc je ne trouve pas de supra méga idées de post. Je n'ai pas vraiment d'interactions sociales en dehors du cercle familial (je suis, enfin j'étais en vacances à la campagne, ne l'oubliez pas!). Je n'ai donc pas de potins ou de balbla socio-sentimentalo-éducatif à vous livrer. J'ai aussi épuisé les catégories que je nomme « ultime recours » à savoir Raving rabbids, L'étrange catégorie du 19 novembre ou bien les catégories de photos. Bref, je me retrouve sans rien avoir à dire avec peu de temps devant moi (oui on est dimanche, autre façon de dire « voyage en train » = arrivée tard à l'appart = manger tard + faire l'italien à l'arrache = se coucher tard = la fleme de prendre le temps d'écrire.) Néanmoins pour me sauver j'ai du temps libre entre les attentes successives dans les gares et surtout - spécialement aujourd'hui - la chance (ou la malchance ?!) de transporter avec moi de l'huile essentielle de ché pas quoi qui embaume (quelque chose de bien!) et qui, ajouté au mouvement du train, me donne la nausée et donc m'empêche de lire. Il ne me reste donc qu'une chose à faire: écrire.

Du coup la page blanche qui aurait du se trouver là va être en fin de compte remplie. Certes, je doute que se soit passionnant mais sait on jamais ! L'espoir fait vivre comme on dit!

  • Hier soir j'ai passé une soirée que l'on peut qualifier de sympathique et surtout longue. Quel était le programme ? Après un séjour de une heure de squattage dans la chambre des parents (avec eux) j'ai regardé un docu-fiction sur Herculanum et ses manuscrits. Une heure pour des infos qu'ils auraient pu nous donner en 5mn, ça c'est mon avis sur le documentaire. Intéressant malgré tout. Ensuite après la pause d'un quart d'heure de ptibou (qui au final à bien duré 45mn, ce qui n'est pas étonnant lorsque l'on connait mon phénomène de frangin) on a regardé un film. La « séance » a fini à 00h30 et on a enchainé à moitié endormis avec un Captain (depuis le temps qu'on devait se faire le retour du captain!). J'ai gagné Ronon Dex d'Atlantis (pour infos pas importante du tout). Du coup dodo autour de 2h30. Dur...

  • Vers 17h, chose assez rare pour le signaler, on a fait un « gouter familial » autrement dit une table ronde autour d'un gâteau avec thé et café. Simple mais agréable.

  • J'ai aussi aidé mon frère pour une dissert' d'éco sur les différences et les convergences existantes entre les CSP et les classes sociales ». Superbe expérience (si, si, vous avez bien lu!) car j'ai pu constater que j'avais encore de beaux restes en SES. Joie! Ça remonte la jauge de « confiance en soi »

  • Avec ptitbou on s'exerce au jeu « snaps, the name of the game is snaps » depuis qu'on a (re)vu Ps: I love you

Enfin dans un registre totalement différent et nettement moins réjouissant, Riddick, mon chat, est mort hier soir. Ça faisait tellement longtemps que je m'étais faite à cette idée (il était malade et il ne mangeait presque plus) que je tiens plus le coup que ce que je pensais. Ma carapace, construite depuis plusieurs années, doit y être pour quelque chose. Mais je sens quand même que je suis limite et que cette mort va s'ajouter à ma liste de choses tristes et déprimantes que je ressort lorsque je craque et qui nourrissent mes larmes lorsque ça va mal. Et cette sensation est étrange car je n'ai pas été aussi mal pour la mort d'un animal depuis la journée où un autre de mes chats (encore) il y a bien 6-7 ans de cela est mort et où j'ai pleuré et hurlé comme une furie. Je ne m'étais jamais mise autant en colère pour la mort d'un animal et depuis j'ai l'impression que toute la tristesse et la rage évacuée ce jour là comptaient pour toutes les morts qui allaient suivre. Depuis je ne pleures plus lorsqu'un animal meure. J'ai l'impression de ne plus ressentir de peine. C'est étouffant. Surtout pour moi qui était si sensible et qui maintenant à l'impression d'être un parfait roc. Vous me direz « ce n'est qu'un animal ». Oui mais voilà, j'ai toujours eu beaucoup d'animaux autour de moi et on a été élevé dans une famille où ils avaient une place très importante. Exemples ? On a des poules, on avait des oies, des canards, pintades & Co, on a des moutons,... mais on en les mange pas. Jamais. Et ça ne nous effleure même pas l'esprit de le faire. On a un mouton presque domestiqué (sacré Léon, qui a eu une diahrré à cause de mon père qui lui a donné du lait avec de l'huile – grand malade mon père!) et pendant longtemps je parlais aux béliers comme je parlerais à un chien, limite je me confiais à eux. C'est pour dire la relations animaux-humains qu'on a toujours eu chez nous. Et pour moi ça me fait bizarre d'être devenue « normale » vis à vis de ma relation aux animaux. Enfin apparemment j'ai encore un peu de restes de mes sentiments passés. Je me rassure, je ne suis pas devenue un monstre insensible (déjà que je suis associable, si en plus je deviens insensible, va-y le cauchemar!)

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Commentaires
C
Je suis vraiment désolée pour ton chat ! Je me pose quand meme une question, son nom s'était du a ce a quoi je pense ? (a savoir, Vin diesel)
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