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Confidences autour d'un thé... (ou d'un café)
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24 novembre 2014

Jusqu'au solstice d'hiver

Une partie de mon mur-étagères. J'ai de la lecture.

Je disais à Mamzelle'M, qui est en ce moment à Budapest, qu'il y avait une chose qu'il fallait qu'elle sache, c'est qu'à cette période de l'année, la nuit y tombe très tôt le soir (enfin, c'est pire en décembre, mais bon). En fait, après réflexion, les (très) courtes journées d'hiver de Budapest me conviendrait bien à nouveau.

Il y a des personnes qui sont attristés par le fait que les jours raccourcissent, moi ça a plutôt tendance à m'enchanter. Autant j'aime les nuits d'été où il fait jour jusqu'à pas d'heure, autant j'aime me retrouver fin novembre avec une nuit précoce. C'est la première année que j'en ai réellement conscience, mais je me rends compte que dès que la luminosité baisse et que je dois allumer mes lampes de chevet (lumière douce et indirecte)(d'ailleurs ma guirlande lumineuse colorée que j'allumais le soir me manque terriblement. Ça donnait une lumière tellement agréable...) je me sens tout à coup plus en joie, plus apaisée*, plus motivée. Sans doute le fait que j'associe ça à l'avent, aux préparatifs de Noël, au coté coocooning de l'hiver, aux soirées emmitouflées dans un plaid à lire un livre et/ou regarder un film, aux soupes (j'aime les soupes - ce qui n'était pas le cas lorsque j'avais 15ans), au crépitement du feu, aux boissons chaudes et aux tenues improbables mais extrêmement confortables. 

Présentement donc, mes moments de plénitude se situent approx. entre 17h et 22h30 (après, on passe dans le coté sombre de la nuit, lorsque le silence envahit tout et pousse à l'anxiété incontrôlable)

 

* Bon c'est peut-être aussi parce que pour la première fois de ma vie, les désagréments lumineux de l'été s'invitent en hiver: je suis obligée de réduire la luminosité des lumières artificielles et des écrans. Faut dire aussi que j'ai un rythme de vie pourri en ce moment et que la fatigue qui en découle est très probablement en grande partie responsable.

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